VIVRE ENCORE

La future loi sur la fin de vie, piégée par des idées fausses, compte effacer l’interdit de tuer et évoluer vers « une aide active à mourir » par le recours à l’euthanasie ou au suicide assisté.

Pourtant, les solutions pour accompagner la fin de vie existent. Elles sont malheureusement méconnues. L’urgence, c’est de les rendre accessibles, pas de faire voter une loi sur l’euthanasie et le suicide assisté.

La future loi sur la fin de vie, piégée par des idées fausses, compte effacer l’interdit de tuer et évoluer vers « une aide active à mourir » par le recours à l’euthanasie ou au suicide assisté.

Pourtant, les solutions pour mieux gérer la fin de vie existent. L’urgence, c’est de les rendre accessibles, pas de faire voter une énième loi « sociétale ».

les idées fausses sur la fin de vie

Les partisans du suicide assisté et de l’euthanasie invoquent toujours les mêmes arguments pour saper l’interdit de tuer, socle millénaire de la déontologie médicale et de la protection des plus fragiles.

Mais, derrière leur refus de la fragilité humaine, quelles réalités ?

MOURIR DANS LA DIGNITÉ

De quelle dignité parle-ton ?

Face aux dégradations liées à l’âge et à la maladie, les militants de la « mort choisie » assènent que ce serait le seul moyen de « rester digne jusqu’au bout ».

En réalité, personne n’est jamais indigne de vivre. C’est le sentiment de dignité qui se perd, non la dignité. Le soutien des soignants, des proches, de la société est la seule façon de montrer à chacun qu’il reste toujours digne, digne d’être soigné et aimé.

ÉCHAPPER À LA SOUFFRANCE

OU PRÉSERVER LA VIE ?

A l’hôpital, dans un EHPAD ou à domicile, l’idée de vivre ses derniers jours dans la souffrance physique et psychique est effrayante.

Heureusement, les progrès des soins palliatifs permettent de soulager l’essentiel des souffrances physiques et psychiques. Chacun a le droit de vivre paisiblement sans se laisser voler sa fin de vie. L’euthanasie est le « moyen expéditif » d’en finir plutôt que de développer la lutte contre la douleur.

choisir sa mort

PIÈGE OU LIBERTÉ ?

Dans les pays qui ont légalisé le suicide assisté ou l’euthanasie le piège de la pression sociale se referme sur les personnes devenues âgées, malades ou dépendantes. En leur laissant entendre qu’elles sont inutiles, pesantes ou coûteuses, elle les pousse à l’auto-exclusion.

Le « droit » à l’euthanasie ou au suicide devient vite un devoir.

DISONS STOP à l'acharnement législatif

Quatre lois fin de vie mal appliquées ont acté les droits des personnes malades ou en fin de vie. Dans une société fragilisée par les conflits sociaux, avec un système de santé en difficulté, une nouvelle loi sur la fin de vie, débattue et votée dans la précipitation et la cacophonie parlementaire, est à la fois inutile et inhumaine.

Même si un plan décennal national pour la prise en charge de la douleur et pour les soins palliatifs a été annoncé par le président de la République – avec beaucoup de retard – la loi sur le grand âge, quant à elle, a été abandonnée…

Nous avons un rôle à jouer pour replacer l’humanité au cœur des décisions politiques et maintenir l’interdit de tuer.

les vrais enjeux que nous défendons

Ce n’est pas parce que l’État a renoncé à les mettre en œuvre qu’il n’existe pas de solutions pour rendre la fin de vie plus humaine et plus sereine.

3 défis sont à relever pour humaniser la société.

Plus de solidarité entre les générations

PLUS DE SOLIDARITÉ

Au-delà des responsabilités incombant aux pouvoirs publics, chacun peut agir en  accompagnant ceux qui souffrent.

C’est auprès de son service d’écoute SOS Fin de vie qu’Alliance VITA nourrit ses réflexions et ses modes d’action, au travers d’appels à agir. Notre Guides des 10 idées solidaires recense les gestes qui concrétisent cet engagement.

Régulièrement aussi, nous conduisons de grandes campagnes nationales pour sensibiliser aux problématiques du grand âge :             « Changeons de regards pour changer sa vie », « Toujours ensemble », « Parlons la mort ».

Des soins palliatifs accessibles

Des soins palliatifs accessibles

Même si le système de santé semble à bout de souffle, l’accompagnement de la fin de vie, y compris à domicile, a progressé depuis des dizaines d’années.

Alliance VITA plaide pour un accompagnement humain de la fin de vie en s’engageant à la fois pour les soins palliatifs, contre l’acharnement thérapeutique et contre l’euthanasie. C’est tout le sens de son investissement auprès du collectif inter-associatif « Soulager mais pas tuer ».

Plus d'écoute et de dialogue

PLUS D'ÉCOUTE ET DE DIALOGUE

Puisque dans de multiples domaines, l’État est défaillant, c’est à nous de prendre le relais.

Alliance VITA y contribue largement en accompagnant les personnes en difficultés avec ses services d’écoute et d’aide (SOS Fin de vie et Thadeo à l’écoute des soignants) ou bien en diffusant en milliers d’exemplaires, le guide des directives anticipées pour la fin de vie, outil très apprécié dans les hôpitaux et les EHPAD pour protéger leurs résidents.

Puisque nous ne pouvons pas compter sur l’État pour bâtir une culture de vie, c’est à nous d’agir.

Aidez-nous

à agir pour une fin de vie plus humaine !

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66 % du montant de votre don au profit d’Alliance VITA peut être déduit de votre impôt sur le revenu.

Alliance VITA est une association de loi 1901 reconnue d’intérêt général.
Numéro d’enregistrement et SIREN : 398 966 358

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