La justice
est aveugle
La future loi fin de vie aussi
En voulant à toute force faire voter une énième loi « sociétale », sur la fin de vie,
le gouvernement tâtonne et joue avec le feu.
Comprendre une loi fin de Vie inutile injuste hasardeuse
Le contenu exact du projet de loi se précise progressivement, en vue d’un examen parlementaire début 2024. Le gouvernement semble prendre son temps pour finaliser le texte, qui suscite des réserves, y compris du Président de la République lui-même. Pourtant, le projet de loi est toujours fondé sur des errements, tant juridiques qu’éthiques.
L'euthanasie active contrevient au Code de déontologie médicale qui interdit formellement de donner délibérément la mort. Le serment d'Hippocrate impose de ne pas tuer.
Les critères souples, tels que la maladie incurable, le pronostic fatal et les souffrances réfractaires, peuvent entraîner des abus et des litiges judiciaires. Il existe un risque de glisser sur une pente dangereuse, avec une expansion graduelle des critères au-delà des cas initiaux, comme cela a déjà été observé dans d'autres pays.
La difficulté de garantir le consentement libre et éclairé du patient, notamment en cas de dépression ou de pressions extérieures, est également préoccupante.
Enfin, les médecins se trouvent souvent pris dans un dilemme entre soulager la souffrance et respecter le serment d'Hippocrate.
Ces réalités soulèvent des doutes quant à la volonté de saper l'interdit de tuer, fondement millénaire de la déontologie médicale et de la protection des plus vulnérables.
des risques lourds pour les plus vulnérables les familles les soignants la société
DISONS STOP à l'acharnement législatif
Pas moins de quatre lois ont déjà abordé les « droits » des personnes malades ou en fin de vie. Alors qu’elles sont largement méconnues et inégalement appliquées, le président Emmanuel Macron a pris le risque, début avril, d’annoncer un nouveau projet de loi avant la fin de l’été.
Les débats préparatoires n’augurent rien de bon : ils sont piégés par les idées fausses véhiculées par les partisans de l’euthanasie et du suicide assisté, comme le choix truqué entre souffrir et mourir. Nous sommes donc à un moment charnière : jamais n’a été aussi imminent l’effacement de l’interdit de tuer, socle originel de toute déontologie médicale et de la protection des personnes les plus fragiles.
Ne nous y trompons pas : les solutions pour accompagner dignement la fin de vie existent ; elles sont mal connues. L’urgence est de proposer ces solutions humaines pour rendre la fin de vie plus sereine.
Nous avons tous un rôle à jouer pour replacer l’humanité au cœur des décisions politiques et maintenir l’interdit de tuer.
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